Faire la différence entre une sciatique et une sciatalgie. Les signes
cliniques sont parfois trompeurs ou peu évocateurs, et rattacher
les douleurs à leur cause musculaire est souvent difficile.
La capacité d’identifier ces syndromes
nécessite une
compréhension de la structure
et la fonction des éléments
environnant le nerf et ses liens anatomiques au nerf grand
sciatique. Il peut en effet masquer d’autres dysfonctionnements
somatiques à l’expression commune (spondylodiscite vertébrale,
radiculopathie lombaire, dysfonction sacrée, voire sacro-iliaque,
une sacro-iliite, bursite trochantérienne, etc).
Aussi, le diagnostic d’une sciatique
nécessite un examen précis
et méthodique du patient
, incluant une batterie de tests spéci-
fiques ; et, afin de corriger au mieux ces dysfonctions tissulaires,
il est primordial que le stagiaire acquière des outils et techniques
lui permettant d’établir un plan de traitement pertinent.
À l’issue de cette formation, le
stagiaire sera en capacité
:
– d’
auto-évaluer ses pratiques
;
– de lire et
analyser des irritabilités du système neural
du
membre inférieur ;
– de
maîtriser la physiopathologie
de ces syndromes
compressifs et leur symptomatologie ;
– de
proposer des tests fiables
pour permettre un
diagnostic précis des affections radiculaires lombaires
ou tronculaires d’origine canalaire ou périphérique ;
– de
proposer et élaborer un protocole de traitement
de
ces sciatiques canalaires ou périphériques.
Pré-requis :
• Kinésithérapeute/Physiothérapeute
14 heures
Possibilité
de prise
en charge
FIF-PL
Valorisable
DPC
Formateur
Guillaume NAINANI
Masseur-kinésithérapeute D.E.
Ostéopathe T.O.
Dates et lieux
29 et 30 janvier 2021 - Nîmes (30)
3 et 4 septembre 2021 - Neufchâteau (88)
VRAIE ET FAUSSE
SCIATIQUE :
thérapie manuelle
et kinésithérapie
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