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En pratique, on fait comment ?

Sophie Conrard
Kiné actualité n° 1520 - 26/04/2018

Un an après le lancement en grande pompe du “sport sur ordonnance”, on ne peut pas dire que celui-ci se soit imposé dans le paysage, exception faite de quelques initiatives efficaces de la part de communes ou d’associations motivées, impliquant à la fois des professionnels du sport et de la santé. Nous profiterons de notre numéro spécial Sport, à paraître le 10 mai, pour faire le point en détails. En attendant, j’attire votre attention sur un événement organisé par l’association James Sport Santé, le 27 mai à Abondance (Haute-Savoie) : une journée de marche/trail en montagne ouverte à tous, pour faire connaître les bienfaits de l’activité physique à tout âge et quel que soit le niveau de pratique (lire p. 6).

Cette semaine, point de sport. Soyons pragmatiques et parlons financement : vous êtes de plus en plus nombreux à utiliser le système du crédit-bail pour investir dans du matériel ou une voiture pour votre cabinet. Comment ça marche ? Y a-t-il des inconvénients à ce dispositif ? À quels organismes s’adresser si vous êtes intéressés ? Nous répondons à toutes ces questions (lire notre dossier p. 18 à 21).

Pragmatiques, sans doute ont-ils cherché à l’être, les élus de Châtres-sur-Cher (41) et les professionnels de santé de la maison de santé pluridisciplinaire (MSP), lorsqu’ils ont accepté d’intégrer une psychologue et une ostéopathe exclusive pour répondre aux besoins de la population. Sauf que la loi ne le permet pas, rappelle le CDOMK du Loir-et-Cher, qui a intenté une procédure visant à les faire quitter la MSP. L’histoire n’est pas terminée : en avril 2017, dans une affaire similaire, le TGI de Montargis a donné raison aux ostéopathes. Pour en savoir plus, lisez l’article daté du 18 avril en cliquant ici !

© D.R.

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